Leamstramgram

J’AI ENFIN PU PARTIR À TOMORROWLAND, BORDEL.

Publié le

Je viens de passer l’un des week-ends les plus incroyables de ma vie.

Dernièrement, on peut dire que j’ai vraiment été très, très chanceuse, puisque j’ai eu l’opportunité de réaliser un rêve que j’avais depuis plusieurs années. En effet, grâce à Cubanisto, j’ai pu partir en Belgique à la découverte de l’incroyable et gigantesque festival de musique électronique Tomorrowland qui se déroule chaque année fin juillet durant deux week-ends.

Nous sommes donc partis dans un super bus et je pèse mes mots : il y avait une cuisine à l’intérieur de ce bus. Une cuisine.
Je reprends, nous sommes donc partis dans un super bus avec une dizaine d’autres copains blogueurs et influenceurs en tous genres direction Boom. Oui, la ville où est organisé Tomorrowland s’appelle Boom, je ne sais pas si le hasard fait très bien les choses, si la ville a été renommée ou si les organisateurs l’ont choisie juste pour ça, mais peu importe, je trouve ça très drôle.

Une fois arrivés sur place et déjà au max de la joie/excitation/motivation/fiestation, nous avons découvert notre lieu de villégiature (J’A-DORE cette expression) tenu secret jusque là et portant le doux nom de Brew District. Il s’agissait d’un « mini campement », entre guillemets puisqu’on était tout de même sur un campement de type hautement qualitatif comme tu peux le voir sur cette photo :

Dans nos jolies tentes nous attendaient des serviettes, produits, chaussures, sacs et surtout des peignoirs plus doux que l’amour lui-même, le tout totalement Tomorrowlandisé.

Nous nous sommes donc retrouvés dans cet espace réservé aux influenceurs invités venant des quatre coins de la planète pour l’occasion avec des « petits » avantages ma foi pas du tout négligeables comme une piscine, un service de maquillage/coiffure/manucure/barbier/massage à notre disposition, des cours de yoga, spectacle, open bar et DE LA NOURRITURE.
D’ailleurs, mention spéciale pour les night snacks préparés à notre retour du festival tard dans la nuit, parce que donner des burgers à des festivaliers morts de fatigue et congelés, c’est clairement de l’humanitaire.

Voici d’ailleurs ce que la trèèèèès patiente coiffeuse a réussi à faire avec mes cheveux, autant te dire que je me suis sentie au max du Tumblr :

Concernant le festival en lui-même, je t’avoue que je m’étais toujours demandé s’il était réellement à la hauteur de sa réputation ou si les mecs étaient juste extrêmement doués en réal pour nous sortir de tels aftermovies.

Pour être tout à fait honnête avec toi, le festival n’est pas vraiment à la hauteur de sa réputation, il est clairement à un autre level au dessus de ça. Déjà, la taille du lieu à elle seule est vraiment impressionnante, jamais je n’aurai pu imaginer que c’était aussi grand. En même temps, il en faut de la place pour caser 200 000 personnes et DOUZE SCÈNES. DOUZE.

Chaque scène a sa propre décoration suivant le thème choisi pour le festival, cette année pour l’Amicorum Spectaculum, on retrouvait par exemple une scène en forme de dragon géant crachant de la fumée, une avec des jets d’eau dans des tubes transparents gigantesques éclairés de toutes les couleurs, un cirque, certaines étaient installées sur des pontons au milieu des lacs et bien entendu une scène Cubanisto.

Tomorrowland est une véritable ville où il est possible de tout trouver : boulangerie, jenesaispascombien de types de restos/snacks, boucher, magasins de vêtements, zone spéciale barbecue (c’est bien connu, chaque ville a sa zone spéciale barbecue, oui oui), supermarchés… Où tu peux régler uniquement avec la monnaie du festival appelée les Pearls que tu charges directement sur ton bracelet Tomorrowland.

Pour que tu te rendes compte d’à quel point le délire est poussé loin, dis-toi que les mecs ont même leur propre journal :

Si jamais tu t’y rends, je te conseille de télécharger d’abord leur application car la programmation est juste infinie et grâce à elle tu pourras présélectionner quels artistes tu veux voir pour que l’app t’envoie des notifications avec l’heure, la scène et l’artiste au bon moment. Sans ça, difficile de ne pas complètement zapper certains concerts ou même carrément se perdre.

Chaque année le line-up est complètement fou pour les fans de musique électronique en tous genres. Entre autres Tiësto, Steve Angello, Boys Noize, Nina Kraviz, Martin Solveig, Kölsch, Don Diablo, Paul Kalkbrenner ou encore Martin Garrix qui fut d’ailleurs carrément une bonne surprise ont rythmé notre week-end.

Je tiens encore à remercier Cubanisto pour cet incroyable week-end, c’est toujours hallucinant de pouvoir vivre de telles expériences. J’ai dû mettre une semaine à m’en remettre, mais ça en valait largement le coup.

Maintenant, il ne me reste plus qu’une petite question… On y retourne quand ?

 

Lemondededemainment vôtre, Léa.